Uncategorized – PLAN YOUR TRIP https://virginiesarachman-planyourtrip.com Virginie SARACHMAN Mon, 18 Apr 2022 12:49:30 +0000 en-US hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.6 https://virginiesarachman-planyourtrip.com/wp-content/uploads/2019/11/cropped-phuket-1-32x32.jpg Uncategorized – PLAN YOUR TRIP https://virginiesarachman-planyourtrip.com 32 32 NEWSLETTER APRIL 2022 https://virginiesarachman-planyourtrip.com/newsletter-april-2022/ Mon, 18 Apr 2022 12:48:58 +0000 https://virginiesarachman-planyourtrip.com/?p=1987 NEWSLETTER APRIL 2022 Read More »

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Newsletter April 2022: Backing home after traveling

Featured in my travel newsletter this week:

How to cope with coming home after a long trip ?

Should I stay or should I go now ?

Travel is there to change one’s state of mind, one’s relationship to others, one’s own habits and one’s relationship to the world.

If it is difficult to change your habits and get out of your personal comfort zone to travel, it is also difficult to come back from a trip, facing the old self, facing others, facing the life before  some never left.

The daily routine

Very restructuring at the beginning but extremely painful when it is imposed by a third party, I had forgotten the meaning of the word “external constraint”.

And I can confirm that it is much less unpleasant and less “violent” to impose your own constraints than to see them imposed by others!

Whether it’s schedules, or an imposed program, I have suffered all my life that subjects to be read or studied are imposed on my brain at times when it needed to sleep or to reenergize to do something else.  thing.

The constraints are very violent for me.

The same way as my fatigue management.  Having been insomniac for a long time, I learned to sleep while traveling.

Why ?

Not just because I was managing my own schedules but because I have a brain that tires and spins until exhaustion.  So when I need to rest, it’s always in very urgent mode because he has no more sleep capital behind…

While traveling I learned to really sleep by imposing it on myself as one would dictate to a child.  Simply because with all the things when you’re abroad in a hotel room or in an apartment for a short time, and you have a lot to deal with, fatigue can be very very dangerous!

It is therefore necessary to ensure that you are in good shape to keep control: of your health, of your business, and of your program of activities and work.

The new comfort

Obviously no one will ever complain about having a certain comfort in their life!

And yet one can be confused, and lost in too much space and in a different environment.

I had gotten used to sleeping in different places. And I had even set up a habit: each time I went to a new place, I solved a problem, an inner conflict, which I had buried inside me for a long time and which I gave up by closing the door at  check out time in the morning before leaving.

As if each new space that I invested would allow me to do a kind of “interior cleaning”.

As the body gets rid of certain dead and useless cells during a fast, this “big cleanse”.

What has changed in us

More open, with this habit of seeking contact and engaging in conversation with people on my path or whether I’m traveling because it can be a question of survival: knowing where you are, who to ask,  where to go for food, to find what you need and to go back in the right direction with the right people or the best service providers.

Information and people are important when travelling.  When you meet people, you have to talk to them and tell them what you need while you’re there and afterwards.

This is where you realize that meetings are never announced and that the people you meet always have important information to communicate to you for your “survival” in the more or less urgent sense of the term.

Information that you have come to seek at the end of the world without knowing it and which will serve you more than you could imagine…

More tolerant, more spontaneous, more reactive (because you have to manage the short term and emergencies) and never depressed again because there is no more time!

When am I leaving?

My first instinct was not to accumulate too many things despite my new needs.

I confess that I bought camping items this time, telling myself that it would be easier to get rid of them for the next trip, and easier to recycle than “hard” furniture and bulky objects.

If staying in the same place can be very relaxing and rejuvenating, you always have to think about the next departure, just because nothing is final but always temporary, and you are still made to move.

Whether it’s in 6 months, 1 year, 2 years or more, I now know that evolution comes from movement and migration, and not from being sedentary!

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Newsletter Avril 2022 : le retour de voyage

Au sommaire de ma newsletter de voyage cette semaine :

Comment gérer le retour à la “maison” après avoir voyagé pendant longtemps ?
Stop ou encore ?

Le voyage est là pour changer son état d’esprit, sa relation aux autres, ses propres habitudes et sa relation au monde.
Rien que ça !

S’il est difficile de changer ses habitudes et de sortir de sa zone de confort personnelle pour voyager, il est aussi difficile de revenir de voyage, face à l’ancien soi même, face aux autres, face à la vie d’avant que certains n’ont jamais quitté.

Reprendre la routine du quotidien
Gérer les contraintes imposées par d’autres que soi
Apprécier et se méfier du nouveau confort
Ce qui a changé en nous
Quand est-ce que je repars ?

La routine du quotidien

Très restructurant au début mais extrêmement pénible quand c’est imposé par un tiers, j’avais oublié la signification du mot “contrainte extérieure”.

Et je peux confirmer qu’il est beaucoup moins désagréable et moins “violent” de s’imposer ses propres contraintes que de se les voir imposer par d’autres !

Qu’il sagissee des horaires, ou d’un programme imposé j’ai souffert toute ma vie qu’on impose des thèmes à lire ou à étudier à mon cerveau à des heures ou il avait besoin de dormir ou de se ressoucer à faire autre chose.

C’est très violent pour moi les contraintes.

De la même façon que ma gestion de la fatigue. Ayant longtemps été insomniaque, j’ai appris à dormir en voyage.

Pourquoi ?

Pas seulement  parce que je gérais mes propres horaires mais parce j’ai un cerveau qui se fatigue et qui tourne jusqu’à épuisement. Donc quand j’ai besoin de me reposer, c’est toujours en mode très urgent parcequ’il n’a plus aucun capital sommeil derrière…

En voyage j’ai appris à dormir vraiment en me l’imposant comme on le dicterait à un enfant. Tout simplement parce qu’avec toutes les choses quand on est à l’étranger dans une chambre d’hôtel ou dans un appartement pour un délai court, et quon à beaucoup de choses à gérer, la fatigue peut être très très dangereuse !

Il faut donc veiller à être en forme pour garder le contrôle : de sa santé, de ses affaires, et de son programme d’activités et de travail.

Le nouveau confort

Evidemment personne ne se plaindra jamais d’avoir un certain confort dans sa vie !
Et pourtant on peut être dérouté, et perdu dans trop d’espace et dans un environment différent.

Je m’étais habituée à dormir dans des endroits différents. Et j’avais même mis en place une habitude : à chaque fois que je passais dans un nouvel endroit, je résolvais un problème, un conflit intérieur, que j’avais enfoui en moi depuis longtemps  et que j’abandonnais en refermant la porte à l’heure du check out le matin avant de repartir.

Comme si chaque nouvel espace que j’investisai me permettrait de faire une sorte de “ménage intérieur”.

Comme le corps se débarrasse de certaines cellules mortes et inutiles pendant un jeûne, ce “grand nettoyage”.

Ce qui a changé en nous

Plus ouverte, avec cette habitude d’aller chercher le contact et d’engager la conversation avec les gens sur mon chemin ou que je sois parce qu’en voyage ça peut être une question de survie : savoir où on est, à qui demander, ou aller pour se nourrir, pour trouver ce dont on a besoin et pour repartir dans le bon sens avec les bonnes personnes ou les meilleurs prestataires.

Les informations et les gens sont importants en voyage. Quand vous rencontré des gens, il faut leur parler et leur dire ce dont on a besoin le temps qu’on reste sur place et après.

C’est là que l’on se rend compte que les rencontres ne sont jamais annonçons et que les personnes que vous croisez ont toujours une information important à vous communiquer pour votre “survie” au sens plus ou moins urgent du terme.

Des informations que vous êtes venus chercher au bout du monde sans le savoir et qui vont vous servir plus que vous pourriez vous en douter…

Plus tolérante, plus spontanée, plus réactive (car il faut gérer le court terme et les urgences) et plus jamais déprimée car plus le temps !

Quand est-ce que je repars ?

Mon premier réflexe à été de ne pas trop accumuler de choses malgré mes nouveaux besoins.

J’avoue avoir acheté des articles de camping cette fois-ci, en me disant que ce serait plus facile de m’en débarrasser pour le prochain départ, et plus facile à recycler que des meubles “en dur” et des objets encombrants.

Si rester au même endroit peut être très reposant et ressourçant, il faut toujours penser au prochain départ, juste parce rien n’est définitif mais toujours temporaire, et qu’on est quand même fait pour bouger.

Que ce soit dans 6 mois, 1 an, 2 ans ou plus, je sais désormais que l’évolution vient du mouvement et de là migration, et non de la sédentarité !

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